Expert en ressources humaines le jour.
Artiste la nuit.

Paul Biss est un automate qui s’exécute entre les murs mornes d’une grande multinationale financière.
Il obéit aux règles de cette société pour survivre.

Mais dès que la nuit tombe, Paul Biss revêt son costume de scène et se transforme en dandy poétique.
Il arpente les scènes et dénonce les dérives du capitalisme ainsi que la déshumanisation du monde.


Si je vous dis que Paul Biss est un artiste engagé, c’est parce que ses chansons ont pour but de vous faire réfléchir :

– sur la vie en entreprise.

Ce monde-là, Paul Biss le connaît très bien de l’intérieur. Il peut vous en parler mieux que personne. La diversité, l’égalité, le recrutement, les règles à suivre sont ses thèmes privilégiés concernant le monde du travail.

À ce propos, le spectacle « Les ressources inhumaines » verra le jour en 2021. C’est une collaboration avec Thierry Junod, comédien, ami et metteur en scène de Paul Biss. 

– sur le monde politique. 

Aucun cadeau n’est fait aux politiciens.
Pourquoi leur en ferait-il d’ailleurs ?!

La chanson préférée de Paul Biss est « L’opportuniste » de Jacques Dutronc. 

– sur les problèmes de société. 

Les migrants, le chômage, le capitalisme sauvage sont des thèmes qui méritent des chansons. Des chansons optimistes et qui vous donnent le sourire. 

– sur la vie de famille. 

Car Paul Biss est aussi un père de famille qui destine l’une ou l’autre de ses chansons à ses enfants. 


Vous voulez quelques dates ? 

Allez, c’est parti !

Paul Biss est actif sur les scènes bruxelloises depuis 2010. 

Son premier album « Quelques coups de téléphone » est sorti en 2017 sur le label Freaksville de Benjamin Schoos.
Ce disque a été produit par Dan Lacksman, le pionnier de la musique électronique en Belgique. Aidé par l’ingénieur son Elsa Grelot, le duo a peaufiné chaque son, chaque note de l’album, pendant des heures et des heures au studio Synsound de Laeken. 

Paul Biss – Quelques coups de téléphone (2017)

Le premier EP de Paul Biss est sorti en mars 2020. Quatre titres sur le thème de la diversité.
Le nom du projet : « Diversiquoi ? ».
But du jeu : interpeller le public et le faire réfléchir à propos du monde dans lequel nous vivons. Qu’est-ce que la diversité ? C’est la question qui est posée ici. 

Paul Biss – Diversiquoi ? (2020)

Octobre 2020, deuxième album pour Paul Biss : « Bienvenue dans le grand cirque ». L’actualité aidant, cet album s’intègre parfaitement dans le paysage économique, politique et social du moment. Paul Biss vit avec son temps, dit ce qu’il a à dire. Peu importe les conséquences. 
La majorité des titres de cet album sont signés Adrien Behier (Phasm). Cet orfèvre de la musique apporte des sons hip hop et une touche hyper moderne aux paroles châtiées. Car oui, Paul Biss ne tombe jamais dans la vulgarité en public. 
Une partie de l’album comporte des influences africaines grâce à Ibaaku du Sénégal (Le néant + Sous les tables) et à Odilon Kiala originaire du Congo (À qui profite le crime). 
Quelques sons typiquement bruxellois sont signés par le jeune et talentueux Rubeus Magritte (Le grand cirque + Dernier quart d’heure) et par les deux compères de la première heure Thomas Venegoni et Gregory Vandamme (Tous condamnés). 
Sur cet album, Paul Biss chante en duo avec Rubeus Magritte, Satchel From Brussels et Malage. 

Paul Biss – Bienvenue dans le grand cirque (2020)


En réalité, Paul Biss est un chanteur bruxellois inclassable.

Chanteur corporate ?
Oui.

Il parle beaucoup du monde de l’entreprise et des ressources humaines.

Chanteur politique ?
Peut-être.

C’est en effet un sujet repris dans beaucoup de ses chansons et les politiciens semblent être des cibles idéales pour l’envoi de phrases assassines.

Crooner ?
Non !

Ses chansons ne sont pas des chansons d’amour mielleuses. Bien que Paul Biss évoque son fils dans une très belle ballade musicale au doux nom de « Petit paresseux » ou qu’il reprend « L’homme heureux » du célèbre William Sheller.

Chanteur révolutionnaire ?
Pourquoi pas.

Sa chanson « Ernesto » est un vibrant hommage au Che !
« Waza banga » et « À qui profite le crime » racontent avec délicatesse les rapports politiques et économiques entre la Belgique et le Congo.


Au final, Paul Biss est un artiste.
Un artiste unique en son genre, qui mérite d’être écouté le temps d’une chanson… et plus si affinité.

Juillet 2020 – Paul Biss pendant le tournage du clip « Le grand cirque » devant la prison de Saint-Gilles, à Bruxelles.

Recevez la newsletter de Paul Biss afin d’être tenu au courant des sorties de singles, d’album et des dates de concert en laissant votre prénom et meilleure adresse email dans les champs ci-dessous :
(désinscription possible au bas de chaque email – vous ne recevrez pas de spams de notre part, promis)

* champ requis